A ma source d'inspiration (qui m'oublie le plus souvent)

Voila un ch'ti poème, que ma muse est venur me souffler dans le creux de l'oreille (T'as une muse toi, me demande bien depuis quand)

Tu m'as dis je t'aime
En un jour de printemps
Quelle bonne nouvelle
En ce si joli temps

Assis sur un banc
Nous regardions les oiseaux
Qui gazouillaient en chantant
Notre amour, notre crédo

Mains dans la mains
Nous nous promenions
Sans penser au lendemain
Insousciant, nous riions

Des journées merveilleuse
Et des nuit fabuleuses
Tu m'offris tour à tour
Pour combler mon amour

Je me lève un matin, les larmes dans les yeux
Je n'ai fais que rêver un monde merveilleux

que dire !!!!! sinon que c sublime !!

aaaaah !! ça m'énerve, la langue française n'a pas assez d'adjectifs pour qualifier vos poèmes les filles !!

faut que je me trouve un dico la next time 340

superbe, magnifique, sublime, incalifiable, autant d'adjectifs pour qualifier ce poème au subtile gout d'amour imaginé

Arretez, c'est bien trop pour juste quelques mots alignés, je suis tellement géné de tous ces compliments que je ne sais où me cacher ( :bvcb: y as pas un trou de souris dans le coin ?)

Sinon, comme mon inspiration à l'air d'être revenu de son long voyage à Pétaouchnok (suis vraiment pas sur de l'orthographe 338

), je vous en met un nouveau

L'Etranger

Vous avez réchauffé ce corps
Qui était tel un bois mort
Vous lui avez insuffler la vie
Je vous en remercie

Vous m'avez un jour
Etreint sans paroles
Un chemin sans détour
Une prière sans obole

Je ne connais rien de vous
Juste votre parfum
Les fossettes sur vos joues
Au moment opportun

Vous vous glisser la nuit
Dans mes draps de satin
Vous partez sans un bruit
Dès le petit matin

Mais avant de vous éclipsez
Vous laissez sur l'oreiller
Un petit bouquet d'oeillet
Pour dire que vous m'aimez

Mais un jour ma couche
Resta froide, sans nouvelles
Car si votre coeur me touche
Elle était bien plus belle

Je ne connaissais rien de vous
Vous étiez étranger
Votre prénom est il doux ?
Vous gardiez ça secret

Vous êtes parti
Comme vous êtes venu
Sans un mot, sans un bruit
Le regard ingénu

Le parfum de ces fleurs
Sur mon oreiller déposées
Leur subtile senteur
Ne viennent plus m'éveiller

Mais mon lit chaque jour
De satin habillé
Attend votre retour
Et vos bouquet d'oeillet

tout comme le dernier ... magnifique ..

je reste sans voix !! c sublime ! 357

A la demande de Loli je met mon poème

Vous m'avez fait l'amour
Comme nul autre n'a fait
Jusqu'au tout petit jour
Vous m'avez fait vibrer

Et vos doigts sur mon corps
Je m'en souviens encore
Votre souffle chaux et doux
M'ont fait fondre sur vous

Vous m'étreignez sans limite
Vous ne connaissez de frontière
Et mon corps vous imite
Unis dans la prière

Votre peau tatouée
En mon sein déchiré
Restera pour toujours
Un grand moment d'amour

Annh perverse

c très beau miki ^^ j'adore ces poèmes où figurent encore les vouvoiement .. ça me rappelle le 18ème siècle, un chouette siècle d'ailleurs ! là où les hommes étaient encore galants ^^

et c pas vraiment érotique , c just sensuel ^^ t'inquiète pas eachou

J'exagère

Bravo j'adore 357

Mici

Eahya

arrête de me faire passer pour la perversse de service

Loli, mici toi au moin tu me comprend, heureusement que tu es là 352

Mais euh, j'vux m'amuser un peu ... Et j'ai deja assez asticoter les petiotes

ba c'est superbe !!! j'avais pas vus ce topic ^^' !!! le dernier est un peu... 458

hein miki ! 360

Disons qu'il est un peu plus osé, on tourne pas 107 ans autour du pot 462

on est sur la même longueur d'onde miki 352

je vais moi aussi mettre un poème osé !! 489

au moins ma ptite miki ne sera pas seule dans la douleur 496

Merci Loli, heureusement que tu es là pour me comprendre 352

Chouette, on deviendra les deux dépravé du fofo comme ça, uni dans l'adversité 339

ouaip on sera les 2 libertines du fofo !! et en plus vampire !! 340

Je, je suis libertine.... 495

Et puis vampire et succube ça va bien ensemble non

Sinon un poème qui vous choqueras peut être moins les puritaines du fofo

Ces années que sont elles devenues
Celles où j'ai pu croire au bonheur
Celles où mes matins étaient les bienvenues
Celles où je savourais chaque heure

Si tu le sais dis le moi
Qu'en as tu donc fait
Et ne me jette pas sans émoi
Que le passée c'est le passée

Tu ne m'aimes plus je peux l'admettre
De nos sentiments nous ne sommes pas maître
Mais cela te donne t'il le droit
De faire comme ci je n'existais pas

Tu ne cherche qu'a m'effacer
Tu ne veux que m'évincer
Ne pouvais tu donc pas me quitter
Sans forcément me mépriser

c treès beau 357

et en effet, si les ruptures pouvaient être comme ça se serait mieux ^^ car je ne comprends pas pourquoi, y'a toujours du mépris qui naît lorsque l'on doit rompre 459

Je crois que le jour où l'on comprendra enfin l'Amour et tout ce qui s'y rapporte n'est pas encore arrivé. 459

Voici un petit pamphlet :

Vous m'avez sans remord
Etendu sur le lit
J'ai eu beau crier fort
Vous en avez fais fis

Vous disiez m'aimez
Mais vous ne respectiez
Vous ne voyiez en moi
Q'une manière d'être roi

Vos désirs et les miens
N'étaient plus compatible
Il faut briser les liens
Désormais invisible

Laissez mon corps guérir
De vos plaisirs infligés
Mon âme veut en mourir
Vous l'avez trop blessée

Je veux redevenir humaine
Être considérer
Je peux souffrir de peine
Et ça vous le saviez

Je n'étais qu'un objet
Pour vous vous amuser
Vous m'avez fait pleurer
Mais vous vous en moquiez

Chaque jour la même chose
La même rengaine
Moi je me décompose
Je n'ai pour vous que haine

Et ne dit-on pas souvent
Que l'homme avec le temps
Se montre sous son vrai jour
Et n'est capable d'amour

Et cette règle commune
A vous "hommes puissants"
N'avez goût d'amertume
Quand vous étiez pratiquant

Je vous ai offert ma vie
Et bien plus encore
Mais vous m'avez pourri
Tout mon âme et mon corps

Je vous souhaite à votre tour
D'être abusé par amour
Ce serait le juste retour
De tous mes mauvais jours

Ne soyez plus humain
Vous qui n'en avez rien
Restez donc la bête
Que vous désirez être

Et le jour fatidique
Du jugement final
La dernière critique
Vous sera fatale

N'espérez pas le paradis
Car l'enfer vous attends
Car tout sang impie
Doit connaître ses tourments

Et lorsque les flammes vous lécherons
A quois penserez vous
Quand elle vous consummerons
Vous repentirez vous

Et les odeurs de souffre
Que vous respirerez
Au fond de votre gouffre
Seront votre éternité

Je vous quitte sur ces mots
Trop de papier gâché
Pour un être fut il "beau"
Qui ne devrait exister.

waouh !! un pamphlet !! tu fais fort miki !! et tu vises qui dans ce pamphlet

340

d'après ce que g compris tu vises l'ingratitude des hommes et leur façon de nous délaisser lorsqu'ils ont obtenu ce qu'il voulait ^^

je suis tout à fait ok avec le perso féminin de ce pamphlet !!

A mort l'ingratitude des Hommes qui jouent avec nos sentiments ! 347

très beau poème !! j'adore le style employé !!
c de l'ancien français ma parole !!
je dirais , ici, un mélange de la langue du 16ème siècle !
non plutôt fin 17ème début 18ème 349

mais avec le verbe "foutiez" ça fait 20ème siècle 462

t'aurait dû le remplacer par un verbe de ce même temps, car il déséquilibre l'ensemble 463

En faite je vise mon ex et le perso féminin est donc moi. 462

Désolé pour le verbe foutre , que je vais remplacer par moquer (ce sera toujours un peu mieux, pas pa'rfait mais bon)