Spéciale "SAINT VALENTIN " ^_^

Kikou les filles !!

Alors pour ce jour spécial , je propose ce topic , dédié à cette fête des amoureux, où vous pourrez y mettre des poèmes, des petites pensées ! des dessins ! des montages et créations sur
le théme saint valentin
et des ptites histoires d'amours courtes , la vôtre ou pas ^^

voilà !!

Allez Bonne Saint Valentin, puisse Cupidon vous toucher de sa flèche ^^

PS : préparez vos bavoirs, ça va couler ! 350

Je sais pas si c'est de l'amour, mais en tout cas sa parle de St Valentin. Ecrit en 5 ptite min à l'instant.

Et voilà ! Encore une année de célibat qui passe. Dix-huit années de vie, dix-huit années de célibat. A se demander si je ne suis pas maudite ou alors tout simplement coincée ? Je pencherai pour la première, tellement cette solution serait facile. La faute ne me retombe pas dessus… Que je suis lâche. Si c’est ainsi, c’est uniquement par ma faute. Uniquement par ma faute.

Je n’ai pas confiance en moi, confiance en personne et les autres m’effraie. Trop heureuse de me complaire dans mon malheur. Oui, me plaindre est ma raison de vivre. Alors pourquoi réussir à trouver le bonheur ? L’amour, l’amitié, la réussite ?? Futilité. Inutile sont ces choses dont l’Homme éprouve le besoin vital de trouver. Dix-huit que je vis sans. Pourquoi ne pas continuer…

Non, … Cela ne se peut. Je dois me réveiller. Qui suis-je pour me laisser abattre ? Depuis ces dix huit années de vie, de combat contre mon moi intérieur ! Dix huit année à me fuir. Oui, pourquoi je n’arrive pas à positiver ? Parce que cette petite voix, cette infime partie de moi me contredit. Faible comme je suis, je l’écoute. Je m’écoute.

Je ne suis pas seule ! Je ne suis pas la plus laide. Je ne suis pas la plus stupide. L’amour est avant tout une question de confiance en soi. S’aimer soi même pour aimer l’autre… mais voilà, faut il déjà trouver l’Autre. Où est il, celui qui serait cher a mon cœur ? Où est mon destin ? Existe-t-il ou alors dois je le créer ? Que dois je faire ???

Il est bientôt l’heure de me coucher… 3H00 du matin, et debout dans deux heures… Déjà ce fameux jeudi 14 février fatidique. 14 février, jour de la Saint Valentin. Jour comme un autre, pour une personne célibataire. Jour commercial que l’on peut détester, mais que l’on affectionne quand même, nous célibataire, en jalousant ces couples idiots qui se pavanent devant nous, tout en exhibant leur amour dégoulinant et collant.

Ange d’amour.

Je ne rêve que de toi, Ange d’amour. De toi et toi seul. Gueule d’amour aux yeux si noir. Non, tu ne ressembles en rien aux anges que l’on peut voir dans ces livres d’images. Non, tu n’es pas Cupidon, mais tu es mon Ange. Sous tes balafres, ton teint blanc et ta peau pestiférée, se trouve un trésor. Ton cœur, Doux Ami.

Sors de ton trou, prends ma main, et courons vers notre futur. Amour aux yeux ténèbres. Si tu es effrayé, ne le soit pas, car je te guiderai parmi les vivant. Amour démonique. Des cornes te pousse sur le front… Ne les cache pas. Ne les dissimule en aucun cas, car moi, je les aime, comme je t’aime. Touche, sens comme mon cœur est brûlant. Empli toi de mon âme, Amour revivant.

Des ailes se dévoilent dans ton dos strié de blessure. Deux ailes magnifiquement noirâtres aux reflets diamant. Le sang s’écoule et vint se mêler aux plumes si soyeuses de tes ailes. Tu vis enfin, Démon de mon cœur. Grâce à mon amour, tu revis. Je suis heureuse.

Sous cette lune, Dansons notre rencontre, dansons ta mort, dansons ta résurrection. Tu revis à travers moi. Tu revis et nous nous aimons. Amour, te voilà sauver. A moi de rejoindre les ténèbres et à toi de voir les cieux. Echangeons notre place, Ange déchu qui retrouve sa voix. Chante mon amour au Paradis, je pleurerai le mien aux enfers. Car c’est à cause de moi que tu es mort, car c’est grâce à moi que tu revis. Le Diable a été mon allié. Dieu sera ton frère. Ne m’oublie pas et vis ta vie, tout en sachant qu’une femme t’a aimé, et t’aimera toute l’éternité.

Aaah sa m'avait manqué ce genre de texte ^^ Arigatô Loli-chan !! J'espère vous comprenez l'histoire... enfin je comprendrais si vous ne le comprenais pas... mon esprit est assez tordu 344

ah !! j'avais oubilé d edire que les histoires pouvaient êtres fictives ^^

ce sont de magnifiques textes Eahya !! 357

en effet ça faisait longtemps que tu nous avais plu donner cette joie !

je suis contente que mon topic serve mon Eachou baudelairienne 360

tu sais, quand t'as parlé de :"Sous tes balafres, ton teint blanc et ta peau pestiférée, se trouve un trésor. " g pensé au vampires !! lol

gt pas loin !!

en tout cas, g compris cette triste histoire !!
mais t'inquiète mon eachou, si par ton amour tu as pu sauver un ange déchu ! le vampire que je suis viendra à son tour sauver son petit elfe des enfers et nous irons tous au Paraddis !! même nous 358

J'ai effectivement pensé aux vampires en écrivant ce passage ^^ tout être des ténèbres peuvent si identifier Loli-chan ^^

Sa me rend heureuse que tu aime

" ze veux un gros câlin !" 498

Gros Calin Loli-chan

big calin Eachou 466

Euh la sa tourne au ... merde c'est quoi le genre déjà ... Yuri ??

oui en effet 462

bon euh ... c pas tout mais g mes dessins à finir pour ce topic ^^

*s'en va discrètement* 360

Ganbatte Loli-chan !!!! J'ai hate

merci !!

Vu que je n'arrive à trouver le sommeil (mon insomnie chronique me joue encore des tours 344

), et que j'ai vu le sujet de Loli, je me suis dis "tiens au lieu de te tourner les pouces dans ton lit essaye de faire marcher le petite pois qui traîne dans ta boite cranienne et qui te sert de cerveau". Je pris donc ma plus belle plume (un vulgaire crayon de bois en faite beuuhhh

) pour vous écrire ces quelques lignes, qui je l'espère vous plairons (mais si vous aimez pas c'est pas grave, je me jette juste dans le vide, mais non j'rigole 360

)

Histoire de la Saint Valentin.
Le banc du parc

Il est cinq heures du matin, comme tous les jours depuis ton départ je déambule dans les rues de la ville. Les brumes de l’aube lui donnent une allure irréelle, on a peine à croire que dans quelques heures, elle qui est pour l’instant endormi, se réveillera et s’animera, qu’une multitude de gens se croiseront sans même se voir. Mais pour le moment, elle est déserte, on rencontre juste parfois quelques fêtards éméchés au détour d’une rue.

Comme tous les jours je n’ai pas dormi de la nuit, et, comme tous les jours je ne supportais de rester dans ce grand lit vide, si froid depuis que tu n’y dors plus avec moi, depuis que c’est son lit à elle que tu réchauffes. Alors je me suis levée, et je marche dans les rues, sans but aucun, je laisse juste mes pas aller, sans même réfléchir, mon cerveau n’en est plus capable. Rien ne va depuis que tu n’es plus à mes côtés. Je marche, et comme d’habitude je me retrouve devant ce parc où je t’ai rencontré pour la première fois. J’ai toujours aimé parcourir ses allées sinueuses et regarder les enfants jouer, ou, tout simplement regarder les gens vivre.

Je me dirige, comme à mon habitude, vers notre banc, celui où tu m’as adressé la parole pour la première fois, alors que je donnais à manger aux oiseaux. Combien de fois t’es tu moqué de moi par la suite. Tu me trouvais un peu ridicule avec mon pain assise sur ce banc. Tu ne cessais de me dire que je te donnais l’impression d’être une grand-mère. Il est vrai que tu n’as plus de remarque de ce genre à faire à ta nouvelle conquête. Cette bimbo surfaite ne prendrai certainement pas le temps de vivre pour voir la nature qui l’entoure. Elle a sans doute un énième rendez vous chez son chirurgien plastique, une nouvelle opération en vue pour refaire tel ou tel partie de son corps qui ne lui convient pas. Il est sur qu’à côté d’elle je fais un peu trop naturelle. Ne vas pas croire que je la médis par jalousie, bien que si je veux être honnête, je suis jalouse d’elle qui a réussi à me prendre mon bonheur.

Il n’empêche que si je n’avais pas eu cette habitude dont tu aimais tant te moquer, jamais tu ne m’aurais accosté, jamais je n’aurais connu ces merveilleuses années à tes côtés, il est vrai que je n’aurais pas non plus connu la douleur de te perdre.

Me voilà donc en direction de ce banc, et, comme chaque matin je resonge à la fois, où, avec ta maladresse légendaire, tu m’as dis m’aimer, et, comme chaque matin je ne peux m’empêcher de pleurer. A force de larmes un sans abri a fini par venir me parler, il avait remarqué que je venais sur ce banc tous les jours, et qu’à chaque fois je ne pouvais m’empêcher de pleurer. Alors ce banc qui a connu nos rendez vous amoureux connaît aujourd’hui les rencontres matinales d’une pauvre fille qui n’arrive à faire le deuil de son amour et d’un S.D.F qui cherche un peu de compagnie. Quel tableau pathétique n’est ce pas.

Cela fait maintenant un an que nous avons notre rituel matinal, et oui, cela fait déjà un an que tu es parti lui susurrer dans le creux de l’oreille que c’est elle que tu aimes, et moi, cela fait autant de temps que j’entends ces murmures d’autrefois comme des sons fantômes. On dirait que ce banc se rappelle de nous et qu’il aime à me faire revivre mes moments de bonheur perdu.

Ainsi, aujourd’hui, comme chaque jour je m’approche du banc, mais aujourd’hui n’est pas comme les autres jours. Il y a une rose de déposé, et, autour de cette rose, un ruban. Pas n’importe lequel, c’est le ruban de nos cadeaux. Tu sais notre vieille habitude à récupérer le ruban du présent que l’autre nous avais fais pour le mettre sur celui qu’on offrait par la suite, ce qui fait qu’au final on récupérais une fois sur deux celui que nous avions choisi. C’était un jeu entre nous. Pourquoi cette rose, rouge grenat, et surtout pourquoi ce ruban. Si d’habitude je pleure, là, bizarrement, rien ne viens, pas une larme, je suis bien trop abasourdi pour. Mon compagnon matinal vint alors me rejoindre et m’explique qu’il a vu un jeune homme brun, assez grand, avec une toute petite cicatrice près du coin de la lèvre, déposer une rose sur le banc, mais qu’il est parti avant d’avoir pu lui parler. Ma tête se mit alors à tourner, il n’y a aucun doute possible, cette description c’est toi, tout le monde remarque toujours cette cicatrice que tu t’es faite un jour en tombant de vélo dans un buisson de ronce. Elle est très discrète, à peine visible en soi, et pourtant on ne peut que la remarquer, elle te donne ton charme, et fais de ton sourire un sortilège dont personne ne peut y réchapper. Je m’assoie, regarde cette rose mais ne la vois pas, je suis dans un autre univers, j’ai quitté la réalité mais n’est pourtant pas aller dans l’imaginaire, je ne suis nulle part, coincée entre deux dimensions.

J’étais tellement perdu que je n’avais même pas remarquer que le sans abri était parti, je sortis juste de ma stupeur quand j’ai senti ton parfum. Tu venais de t’asseoir à mes côtés. Nous restâmes un long moment sans rien nous dire, puis tu finis par m’expliquer que tu avais enfin compris que tu avais fais erreur, et que c’était moi que tu voulais à tes côtés. Je t’écoutais, sans rien entendre, ne répondais pas, que pouvais je dire, alors je restais, là, muette. Tu finis par te taire également et nous restâmes là jusqu’au coucher du soleil, nous ne bougeâmes de ce banc à aucun moment de la journée et nous vîmes le paysage changer selon la lumière qui dansait sur lui. Puis, je me suis levée, je n’avais pas encore ouvert la bouche depuis l’aube, et toi, tu t’étais tu depuis longtemps. J’ai commencé à marcher et tu me suivis, nous déambulâmes dans les rues et puis nous finîmes devant chez moi. Je ne t’avais pas encore regardé, je contemplais fixement cette rose, mais je me décida enfin à lever les yeux vers toi et te tendis la rose. Tu eu l’air étonné et tu me demandas pourquoi je te la rendais. Comme tu n’obtenais de réponse, tu aller repartir, l’air dépité, ton souhait ne c’était pas réalisé. Mais avant que tu ne fisses le premier pas, je te répondis : « Nous sommes la Saint Valentin aujourd’hui, et je n’ai de cadeau à t’offrir, alors, j’ai passé la journée à transmettre à cette rose tout l’amour que j’ai pour toi, pour pouvoir te l’offrir et qu’elle te susurre au fond de ton cœur que je t’aime et que je n’ai cessé de t’attendre ». J’ouvris la porte de mon immeuble, m’y engouffra, tu m’emboîtas le pas, puis, la porte, sans un bruit, sur nous, se referma.

Alors voila, j'espère que ces quelques lignes ne vous ont pas été trop fastidieuse.

Sinon Eahya j'ai adoré ton texte, bon je le lirais peut être à tête un peu plus reposer parcque là, la mémére, elle est quand même un peu dans le coltard 459

Et Loli, vite ton (ou tes) dessins, moi n'aussi n'ai hâte de les voir.

Bon, c'est pas de tout ça mais moi je vais quand même aller faire dodo 345

parce que mine de il est quand même tard (ou tôt selon son raisonnement)

ah oui, n'est failli n'oublier JOYEUSE SAINT VALENTIN A TOUTES, qu'elles ai un amoureux 352

où qu'elles soit désespéremment seule beuuhhh

, car à l'heure où je vous écris, il est déjà le 14 février.

JE SUIS TOUTE SEULE '_' 344

Mais joyeuse saint valentin à tous les amoureux quand même 357

Miki, Marci Kayrys

je lirai ton texte après Miki-chan, j'viens de me lever, jai pas encore les yeux en face des trous

:352:pleins de textes à ce que je vois faudra que je lise tout ça mais là j'ai pas le temps ^^' ! joyeuse st Valentin à toutes !

moi g lu ton texte miki ^^ et franchement je l'ai trouvé touchant !!

au début j'ai eu la gorge nouée, car ça ma rappelé mon rituel, quand mon ex est parti ( m'asseaoir devant la BU dla fac , car ct là que je l'avais rencontré)

puis, g souris lorsque je suis arrivée à la fin ! gt comme soulagée !!

En clair , ton histoire est superbe !

Vous êtes toutes super Balèzes les filles 360

Bon, moi g fait 2 dessins ^^ g fini 1 et il me manque le 2ème ! d que je le fini je le met ^^

en attendant voici mon poème st valentin 357

Il est assez spécial , g voulu rompre un peu avec l'habitude ^^

« Il est fatigué le prince charmant
Il est fatigué son beau cheval blanc
Ses rêves bleus sont un peu gris
Son épée d'or est en fer blanc »

Tel est le refrain que mon cœur te chante
Car il ne veut plus que je te mente.
Que tu ne m’aimes ou pas,
Je suis fatigué d'être « celui-là ».
Je n'ai plus la force de me cacher
Ou un jour je te perdrai.

« Il est fatigué le prince charmant
Il est fatigué son beau cheval blanc
Ses rêves bleus sont un peu gris
Son épée d'or est en fer blanc »

Tel est le refrain que mon cœur te chante
Car il ne veut plus que je te mente.
Pour que tu puisses n’aimer que moi,
Je t'ai raconté n'importe quoi
Ma vie n’est pas un manga ou un roman
Mais pour toi, j’ai des sentiments.

« Il est fatigué le prince charmant
Il est fatigué son beau cheval blanc
Ses rêves bleus sont un peu gris
Son épée d'or est en fer blanc »

Tel est le refrain que mon cœur te chante
Car il ne veut plus que je te mente.
Non, Je ne parle pas aux oiseaux
Même si c’est le chant le plus beau.
Et ce soir ces roses, ce rôle m’ennuient,
Car je ne peux te promettre de t’aimer jusqu’à l’infini.

« Il est fatigué le prince charmant
Il est fatigué son beau cheval blanc
Ses rêves bleus sont un peu gris
Son épée d'or est en fer blanc »

Tel est le refrain que mon cœur te chante
Car il ne veut plus que je te mente.
Je m’étais fait prisonnier,
Ton amour sincère m’a délivré.
Si tu m’aimes encore, pardonne-moi
Si tu m’aimes toujours, reste avec moi.